Il y a de nombreuses raisons qui font que les risques de catastrophe ne sont pas encore éradiqués jusqu’à ce jour. Parmi ces raisons, on peut citer l’explosion démographique de la population mondiale. Ce qui fait que les organismes de prévention ne peuvent pas gérer autant de monde en situation de crise.
La progression des catastrophes alarme les organismes de prévention
Malgré les efforts des organismes de prévention contre les risques de catastrophe, ces risques ne sont pas toujours éradiqués jusqu’à ce jour. Cela est notamment causé par le fait que leurs stratégies globales pour la réduction des risques de catastrophe ne suivent pas le rythme de l’évolution des catastrophes en question. En effet, depuis quelques années, la vitesse d’évolution de ces dernières a augmenté de façon exponentielle. Le cycle des événements sinistres d’aujourd’hui ne correspond plus à celui d’il y a 50 ans et cela va en empirant. Nous devons cette accélération brusque aux industrialisations massives, à la pollution, à la dégradation de l’environnement, aux contraintes d’urbanisation ou de développement dans certaines zones, à l’inégalité sociale et bien d’autres encore. Ce qui fait que les organismes de prévention comme Aps prévention n’ont pas pu adapter les mesures à prendre face aux catastrophes divers. Pourtant, le changement climatique entraîne une augmentation de la fréquence et de la gravité des événements hydrométéorologiques (pluies, averses, cyclones, sécheresse…)
Quels sont les impacts du changement climatique ?
Le changement climatique a de nombreux impacts dans beaucoup de domaines. Il a des conséquences sur l’homme et sa façon de vivre, son environnement et bien d’autres encore. Le changement climatique modifie le visage des risques de catastrophe à un tel point que l’on peut aussi qualifier le changement comme étant lui-même la plus grande catastrophe naturelle. En effet, cette dernière accroît l’amplitude des événements sinistres qui peuvent survenir comme les cyclones.
À cause du changement, il se trouve que l’on assiste aujourd’hui à une augmentation des risques liés aux conditions météorologiques (inondations, pluies irrégulières, canicule…). Cela entraîne aussi une élévation des températures et une élévation du niveau des mers. Les gaz à effet de serre détériorent la couche d’ozone qui ne filtre plus très bien les rayons du soleil. Aussi, la température globale augmente ce qui fait fondre les grands glaciers. À leur tour, ces derniers prennent de la place dans la mer et font ainsi augmenter le volume des eaux. Cela favorise un dérèglement mondial des conditions météorologiques. Les catastrophes naturelles qui en découlent font qu’on assiste à une augmentation de la vulnérabilité de la population face à ces dangers (insuffisance d’eau, insuffisance de nourriture, pauvreté).